L’aéroclub Jean Bertin dispense la formation pour la qualification vol de nuit en conditions VFR (ou VFR de nuit). Son avion Robin DR-400-160 « F-GNNM » dispose de tous les équipements et instrumentation requis au vol de nuit VFR.
Qu'est-ce que le VFR de nuit ?
(vol de nuit)
Qu'est-ce que le VFR de nuit (vol de nuit) ?
La qualification VFR de nuit (Vol de nuit) est complémentaire à la PPL (Licence de pilote privé). Cette qualification autorise son détenteur à voler la nuit, c’est à dire après le coucher du soleil et avant le lever du soleil (heures aéronautiques).
Les conditions préalables à l’obtention de cette qualification sont :
- Etre détenteur de la licence pilote privé avion PPL(A) en cours de validité,
- Etre à jour de la visite médicale de classe 2,
- Avoir la qualification de classe de l’avion utilisé en cours de validité.
Comment se déroule la formation au VFR de nuit ?
La formation est mixte, théorique et pratique.
La théorie (3h30 de cours) est dédiée aux spécificités règlementaires et techniques du vol de nuit.
La formation pratique consiste en un minimum de 5 heures de vol de nuit dans la catégorie appropriée d’aéronef incluant :
- au moins 3 heures d’instruction en double commande
- au moins 1 heure de navigation dont 1 vol en double commande de 50 km
- 5 décollages en solo
- 5 atterrissages avec arrêt complet en solo
La formation est mixte, théorique et pratique.
La théorie (3h30 de cours) est dédiée aux spécificités règlementaires et techniques du vol de nuit.
La formation pratique consiste en un minimum de 5 heures de vol de nuit dans la catégorie appropriée d’aéronef incluant :
- au moins 3 heures d’instruction en double commande
- au moins 1 heure de navigation dont 1 vol en double commande de 50 km
- 5 décollages en solo
- 5 atterrissages avec arrêt complet en solo
Et ensuite ...
La qualification sera consignée sur le carnet de vol par l’instructeur puis sur la licence par la DGAC à la demande du pilote lauréat.
Pour être autorisé à emporter des passagers, le pilote doit avoir effectué, dans les 90 jours qui précèdent, au moins un décollage et un atterrissage de nuit sur un aéronef du même type ou de même classe.