« C’est une passion familiale qui m’a donné le courage de dépasser les préjugés fille/garçon en termes de loisirs et de pousser les portes d’un aéroclub de planeurs à l’âge de 15 ans, puis d’un aéroclub d’avions et d’un centre de parachutisme à l’âge de 20 ans.
A l’aéroclub Jean Bertin en particulier, j’ai été accueillie chaleureusement, et m’y suis toujours sentie à l’aise : les instructeurs sont très pédagogues et d’un grand calme. Ils ont toujours su s’adapter, m’encourager et m’accompagner dans tous les projets aéronautiques que j’ai souhaités mener : HOP ! Tour Aérien des Jeunes Pilotes, projet caritatif, etc. (malheureusement annulés à cause du Covid).
La bonne ambiance y résidant a fait de ce lieu un endroit de partage de notre passion commune. C’est également un aéroclub qui pousse à donner le meilleur de soi-même et à toujours progresser : la diversité des aéronefs permet de monter en connaissances et qualifications constamment.
A l’aéroclub Jean Bertin en particulier, j’ai été accueillie chaleureusement, et m’y suis toujours sentie à l’aise : les instructeurs sont très pédagogues et d’un grand calme. Ils ont toujours su s’adapter, m’encourager et m’accompagner dans tous les projets aéronautiques que j’ai souhaités mener : HOP ! Tour Aérien des Jeunes Pilotes, projet caritatif, etc. (malheureusement annulés à cause du Covid).
La bonne ambiance y résidant a fait de ce lieu un endroit de partage de notre passion commune. C’est également un aéroclub qui pousse à donner le meilleur de soi-même et à toujours progresser : la diversité des aéronefs permet de monter en connaissances et qualifications constamment.
La disponibilité et la gentillesse des instructeurs, ainsi que la présence et le travail de qualité des mécaniciens du club m’ont permis de ne jamais être freinée dans mes projets, et de pouvoir continuer à trouver des horaires de vol compatibles avec mes études.
Notre époque est le siège d’une grande évolution des mentalités qui m’a permis de passer mes différents brevets de pilote sans jamais me sentir rabaissée ou discriminée en tant que femme. Evidemment et comme partout, personne ne peut plaire à tout le monde et il m’a parfois fallu travailler davantage pour atteindre un niveau suffisant pour être « considérée » : le chemin est encore long pour les femmes mais une bonne partie du travail a déjà été accomplie, et je me suis toujours sentie à ma place en aéroclub, principalement à l’aéroclub Jean Bertin.
De 2019 à 2021, j’ai présidé une association aéronautique et aérospatiale de 130 étudiants (dont une dizaine de filles). Diplômée cette année en tant qu’ingénieure avec une spécialité aéronautique, je ne peux qu’être reconnaissante de ce monde fascinant qui m’a construite en tant que femme : l’apprentissage du pilotage et du vol en général, les sensations et surtout les rencontres dans les différents aéroclubs que j’ai fréquentés m’ont permis de me séparer de la très grande timidité dont je faisais preuve, et de me donner peu à peu confiance en moi. L’aéronautique a également été pour moi une grande école de la vie et l’est toujours aujourd’hui.
Pour conclure, il peut parfois être difficile lorsqu’on est une femme de s’imaginer pousser les portes d’un aéroclub, mais, et principalement à l’aéroclub Jean Bertin, elles ne sont pas si lourdes qu’elles en ont l’air !
Notre époque est le siège d’une grande évolution des mentalités qui m’a permis de passer mes différents brevets de pilote sans jamais me sentir rabaissée ou discriminée en tant que femme. Evidemment et comme partout, personne ne peut plaire à tout le monde et il m’a parfois fallu travailler davantage pour atteindre un niveau suffisant pour être « considérée » : le chemin est encore long pour les femmes mais une bonne partie du travail a déjà été accomplie, et je me suis toujours sentie à ma place en aéroclub, principalement à l’aéroclub Jean Bertin.
De 2019 à 2021, j’ai présidé une association aéronautique et aérospatiale de 130 étudiants (dont une dizaine de filles). Diplômée cette année en tant qu’ingénieure avec une spécialité aéronautique, je ne peux qu’être reconnaissante de ce monde fascinant qui m’a construite en tant que femme : l’apprentissage du pilotage et du vol en général, les sensations et surtout les rencontres dans les différents aéroclubs que j’ai fréquentés m’ont permis de me séparer de la très grande timidité dont je faisais preuve, et de me donner peu à peu confiance en moi. L’aéronautique a également été pour moi une grande école de la vie et l’est toujours aujourd’hui.
Pour conclure, il peut parfois être difficile lorsqu’on est une femme de s’imaginer pousser les portes d’un aéroclub, mais, et principalement à l’aéroclub Jean Bertin, elles ne sont pas si lourdes qu’elles en ont l’air !
Clémence